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L'École Blot remercie ses partenaires, les bénévoles et les visiteurs

La vie de l'école

L’École Blot remercie chaleureusement tous ses partenaires et mécènes ainsi que tous les bénévoles qui ont participé gracieusement à la concrétisation de son projet des 90 ans. Grâce à eux, il a été possible d’habiller les palissades de chantier de la Sous-Préfecture de Reims, soit environ 80 m² de décors réalisés sur le thème du « Jardin Zen ».



Nous avons soufflé les bougies de nos 90 ans tous ensemble lors de l’inauguration de la fresque le vendredi 29 mai 2015 en la présence de Monsieur le Sous-Préfet Michel Bernard, Madame la présidente de Reims Métropole Catherine Vautrin et Monsieur le député-Maire Arnaud Robinet.

Les Portes Ouvertes des samedi 30 mai et dimanche 31 mai ont été l'occasion d'exposer les originaux de la fresque. Les visiteurs, bien plus nombreux qu'à l'accoutumée, ont pu échanger avec les élèves, anciens élèves, professeurs et encadrants de l'école.

Notre plus beau cadeau est d'avoir pu transmettre notre passion et susciter des vocations : « Pour que l’École Blot accède à la lumière ».

Sous-préfecture de Reims
Ville de Reims
Sionneau et fils
La Banque CIC
Groupe Taittinger
Bellet Frères
Rotary Club Reims
Barbot – Nuances Unikalo
B-Side
Joëlle Fleurs
La compagnie Numérique
Fred Laurès
Ecole Tunon
Léonard
Schlüter France

Nous remercions également Monsieur Roberto Alvarez qui a offert une ode à l’École Blot. Ce texte figure désormais sur les palissades de la Sous-Préfecture et sublime l'école à chaque lecture :

"Depuis 1925, l’École Blot cultive l’art du faux, de la tromperie optique.

Un genre pictural d’un esthétisme à couper le souffle.
Lovée dans une arrière-cour au pavement lustré et déformé, l’École semble entretenir une image discrète, en marge des saisons. Comme si les horloges du quartier avaient fugué. Il n’est pas rare que le passant rémois s’interroge sur cette thébaïde égarée au cœur de la cité. Elle parait retirée, isolée du tumulte de la ville.

Et pourtant, dès le seuil franchit, l’hôte est étourdi par ce vaste atelier qu’une verrière arrose d’une lumière duvetée. Ici, les artistes imaginent des rêves insensés qu’ils murmurent à la toile. En blouses blanches, tels des médecins au chevet de leurs patients, ils font corps avec les chevalets. L’esprit est saisi par ce jeu subtil de séduction et de confusion. Le tableau n’est qu’une surface lisse, mais il donne l’illusion d’un relief ensorcelant. Il trompe l’œil et fascine. Dans l’Antiquité, un peintre avait dessiné des raisins si parfaits que des oiseaux tentèrent de les picorer.

Peut-être faut-il voir ce Jardin Zen avec nos yeux d’enfants pour mieux s’en imprégner. Imaginer qu’il puisse envahir toute la place Royale, la dévorer.
Cette immense fresque murale est une ode au plaisir des sens, à l’essence de nos plaisirs."